d’une part, 6741 Républicains espagnols extraits de stalags ou d’oflags et internés à partir d’août 1940 au camp de Mauthausen (4 listes), d’autre part, 7384 travailleurs dont 329 femmes arrêtés au sein du Reich puis transférés dans des prisons allemandes et des camps de concentration (17 listes). Un double objectif lui est confié : La Fondation pour la Mémoire de la Déportation décide aussi d’accorder une place à des déportés arrêtés par mesure de persécution ne figurant encore dans aucun mémorial français : les Juifs « conjoints d’aryennes » déportés sur l’île d’Aurigny, les Tsiganes et Juifs déportés depuis le Nord et le Pas-de-Calais, zone rattachée au Commandement militaire allemand de Bruxelles. mis en ligne en Juillet 2018, dernière révision 1er Février 2020. Ce site est en mémoire des disparus de la guerre de 1939-1945. Par exemple, la Lemberg de l'Empire Austro-Hongrois, est Rechercher un déporté Parmi elles, se trouvent 119 communistes, dont Marie-Claude Vaillant-Couturier, Danielle Casanova, Hélène Solomon-Langevin [12] ou Marie Politzer [13], ainsi que de nombreuses femmes d’otages fusillés et quelques parentes de « 45 000 ». Au moins 1 600 détenus leur sont remis.        l'introduction de Serge Klarsfeld au Mémorial de 2012. Depuis cette date, un groupe d’une dizaine de chercheurs, permanents de la Fondation et/ou étudiants de l’université de Caen, contribuent à l’enrichissement de la base de données. Les noms des pays sont en anglais (par exemple Hungary, Germany). De plus, un décret étant souvent composé de plusieurs listes alphabétiques consécutives, ne vous arrêtez pas si vous ne trouvez pas le nom recherché dans la première liste et examinez les listes suivantes du décret. Autres camps de déportation: Sachsenhausen, Genshagen, kommando de femmes du KL Sachsenhausen situé à Berlin, travaillant pour l’usine AEG, Oranienburg. Choisissez les options ‘sounds like [ressemble à]’ ou ‘is phonetically [est phonétiquement]’ qui utilisent respectivement le D-M soundex et le BMPM phonetic matching, pour localiser les variantes orthographiques des noms, prénoms, localités ou régions. Les 89390 déportés recensés sont présentés à l’intérieur de 363 listes de nature différente : listes de transports, listes mensuelles de départs, listes d’arrivées, listes alphabétiques, etc. L’association dispose d’une collection de ces numéros dont quelques exemplaires ont été illustré à l’aquarelle par Boris Taslitsky. PIERRE Aimé, né le 18 février 1916 à Tours (Indre-et-Loire). Alexandre Doulut, Serge Klarsfeld, Sandrine Labeau. A Buchenwald, les déportés ne sont pas tatoués comme à Auschwitz, mais "étiquetés", et visiblement repérables par un triangle de couleur, cousu sur leur vêtement, qui indique leur nationalité et leur classification, selon les critères administratifs nazis. et de Sauckel, à Munich ou à Berlin. Contrairement à ce que tentent de faire croire les négationnistes et les pseudo-révisionnistes qui nient le génocide ou cherchent à le banaliser, les nazis ont bien exterminé Juifs, Tziganes et Slaves. Etude statistique réalisée sur un échantillon de 2264 personnes, mémoire de maîtrise sous la direction de Monsieur Jean Quellien, Université de Caen, 2000. 1412 personnes sont recensées au sein de deux listes, l’une étant consacrée aux hommes, l’autre aux femmes. J'ai soumis quelques questions et hypothèses de travail à Alexander Beider qui y a gracieusement répondu avec sa vaste érudition en linguistique et onomastique. Depuis Abada Roger, résistant communiste matricule 117858 à Dora jusqu’à Zyman Benjamin, membre de l’Organisation Juive de Combat, matricule 75953 à Dora, en passant par Stéphane Hessel, Pierre Dejussieu-Pontcarral, Simone Veil et des milliers d’autres, ce véritable mémorial de papier les réunira pour la première fois. Jérusalem, Israël Prolonger le Mémorial en identifiant aussi précisément que possible les lieux de naissance indiqués dans la version de 2012, pour obtenir les noms actuels de ces localités, leur régions et leur pays. Constitution d'un fichier des prisonniers de guerre, déportés ou réfugiés, organisation de leur rapatriement et délivrance d'attestation d'internement : instructions ministérielles et préfectorales, réponses des maires, liste nominative des Juifs déportés en 1942, correspondance (1944-1946). Il est également possible d'effectuer des recherches en filtrant notamment par convoi, par lieu ou date de naissance, par dernière adresse. Vous êtes donc invités à nous transmettre vos corrections et compléments (nous contacter) accompagnés, si possible, de documents (extraits d’actes de naissance et de décès, en particulier pour les déportés rentrés de déportation, témoignages, photos…). Pour effectuer une nouvelle recherche, retournez au formulaire de départ. Sont envoyés au S.T.O. Nous sommes à l'heure actuelle neuf survivants (Serge Bouder, Eugène Handschuh, Louis Handschuh, Jean Oppenheimer, Claude Rain, Roger Schandalow, Michel Sciama, André Ullmo, Samuel-… Permettre une recherche phonétique des noms, prénoms et localités, afin de retrouver des personnes inscrites sous une orthographe différente. Un génocide programmé . Pour plus de détails, voir Liste des déportés arrêtés en Ille-et-Vilaine . En tout état de cause, la victoire de la gauche, et particulièrement du Parti Communiste, est patente. Qu'ils en soient ici remerciés. Les redistributions des frontières à l'issue de la Seconde Guerre Mondiale et à la suite du démembrement de l'Union Soviétique puis de la Yougoslavie ont fortement contribué à ces changements de noms et de langue. Il s’agit ici de départs opérés depuis l’Alsace et la Moselle, territoires annexés au Reich. Deux catégories de déportés trouvent place dans cette partie : Dans cette quatrième partie, ont été regroupés les déportés n’ayant pu être classés dans les parties précédentes par manque d’informations. Ainsi, 793 déportés dont 97 femmes sont présentés à l’intérieur de 3 listes : les « demi-juifs » ou « conjoints d’aryennes » déportés sur l’île d’Aurigny, les Tsiganes du Nord-Pas-de-Calais déportés à Auschwitz; les Juifs du Nord-Pas-de-Calais déportés vers la Belgique et le Reich. Parmi eux, 88597 sont arrêtés par mesure de répression et 793 relèvent de cas de persécution. la zone dite libre jusqu’au 11 novembre 1942 au Sud. Par défaut, la recherche des noms de famille s'effectue avec le BMPM, celle des noms de jeune fille et des lieux de naissance est réalisée selon le D-M soundex et celle des prénoms en orthographe exacte. L’arrivée de responsables du Parti communiste à Buchenwald permet de renforcer l’organisation des détenus communistes qui reste évidemment clandestine. Les lieux de naissance fournis par les déportés reflètent souvent le nom de la localité au moment de leur naissance, et une même ville peut être référencée par ses divers noms. Liste alphabétique des déportés du convoi 77 Veuillez utiliser la case de recherche à droite ci-dessous pour afficher les lignes où figure le MOT que vous aurez tapé dans cette case. De même, des communes ont changé de nom ou ont disparues, étant absorbées par d'autres agglomérations. Revenu. (Matricule 62798). Ils arrivent à Compiègne le 2 juin et sont déportés à Dachau le 18 juin où ils sont immatriculés trois jours plus tard dans les numéros 72 000-74 000. Malgré toute l’attention portée à cette étude, certains choix pourront se révéler incorrects, certaines erreurs s'être glissées. Elle est rendue possible par la signature en mai 2005 d’une nouvelle convention entre la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, le ministère de la Défense et l’université de Caen Basse-Normandie. Les archives fédérales allemandes (BundesArchiv à Berlin) ont bien voulu partager leurs informations relatives aux déportés d'origine allemande se trouvant sur le sol français pendant la guerre. Ville: Le nom de la commune française actuelle, par exemple, Lunéville. Sans son outil, je n'aurais probablement pas entamé ce projet. Registre des victimes de la persécution des Juifs sous la tyrannie nazie en Allemagne, Les mentions ‘mort en déportation’ publiées dans le, Le Mémorial des déportés Judéo-Espagnols de France, Association. matricule au premier camp ou date de déportation, situation (disparu, décédé, libéré, rentré ou non connu), observations diverses (« NN », gazé, nom d’emprunt…). Deux types de recherches sont proposés au lecteur. Ils ont été fournis par l’autorité militaire allemande. Attention: la référence est vers la première page du décret. La base de données comporte les informations suivantes : Il est d’ores et déjà envisagé d’introduire progressivement quelques champs nouveaux touchant en particulier à l’arrestation (date et lieu), à l’internement et au devenir des déportés (date de décès après rapatriement). Environ 10% sont des femmes et près de 40% meurent en déportation alors que le devenir est connu pour 93% des déportés recensés. Cette liste comprend 17 communistes, 11 socialistes et 8 indépendants. Jean-Pierre Stroweis Sur ces 46 hommes, nous n'avons pu obtenir des informations complètes que sur 21 d'entre eux qui, sans surprise, sont tous communistes ou apparentés. 1. Cette base de données se veut évolutive. Bien que l’objet initial du projet était le recensement des déportés arrêtés par mesure de répression, il a été choisi de prendre en compte 3 cas de déportation de persécution dont les victimes n’avaient jamais été inscrites dans un mémorial français. pour tout complément ou correction. Sur ordre de l’Allemagne et du régime de Vichy ce sont près de 600 000 requis au S.T.O. Le moteur de recherche utilise les techniques du Daitch-Mokotoff soundex (D-M soundex) et du Beider-Morse Phonetic Matching (BMPM), ce qui permet de retrouver une personne, même lorsque les noms, prénoms et localités recherchés sont épelés différemment de la base de données. Les autorités de Vichy et les autorités allemandes d'occupation ont aussi utilisé le nom français des localités (tels Varsovie pour Warszawa, Pologne ou Brousse pour Bursa, Turquie) ou leur nom allemand (tel Petrikau pour Piotrków Trybunalski, en Pologne)... Des localités distinctes portent souvent le même nom, et sont parfois situées dans des pays différents.