Les marsupiaux et Par ailleurs, en nombre moins conséquent, mais toujours relativement invasives, nous distinguons la souris sylvestre et la souris à pattes blanches. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Des rongeurs spécifiques sont les principaux hôtes des hantavirus, … Schrumpf et R.H. Karstens, «, C.G. Wolff, «, R.S. Il faut surveiller à l’automne, la souris sylvestre qui est très présente dans les bâtiments près d’un champ. Ce qui me fait croire que ce n’est pas une souris sylvestre (Peromyscus maniculatus, deer mouse), outre la couleur cannelle qu’on voit, c’est que sa queue est moins longue que son corps, tandis que pour la souris sylvestre, elle est aussi longue ou même plus. La souris sylvestre est souvent confondu avec le mulot, la souris à pattes blanches et la souris sylvestre à pattes blanches. Wilson et A. Spielman A, «, J.G.Donahue, J. Piesman et A. Spielman, «, L.R. Cependant cette légère immunisation n'a pas empêché la transmission des spirochètes inoculées par des tiques infectées à des souris préalablement exposées à des tiques non infectées[23]. Une étude du Cary Institute of Ecosystem Studies de Millbrook (New York) a fait récemment le point sur 16 ans de suivi de souris infestées par des tiques en s'intéressant à l'impact des tiques sur la santé et la survie des souris, à partir de 5.587 historiques de capture de souris à pattes blanches faites de 1995 à 2011. Les souris semblent affectées (arthrites) par la co-infection Borrelia + Babesia[21], mais des souris à pattes blanches expérimentalement infectées (par piqure de tique, de manière à mimer au mieux l'infection naturelle) produisent des anticorps contre B. burgdorferi, sans taux plus élevé de globules blancs (par rapport aux souris non infectées)[6]. Coleman, J.P. Hanrahan et J.L. Le mulot. Les souris à pattes blanches, présentes en Amérique du Nord, peuvent être infestées par plus de 200 tiques. Zegarra-Moro, J. Bjornsson, E.K. Le Syndrome pulmonaire à Hantavirus (HPS) est l'un des deux syndromes potentiellement mortels dus à une zoonose provoquée par une espèce d'hantavirus2. En 1988 on ne disposait pas encore de test pour détecter les borrélies, mais il a été confirmé que la mise en culture de tissus de vessie prélevés sur cette souris est très efficace pour isoler B. burgdorferi et que la culture de cet organe peut être utile pour des recherches de spirochètes chez les rongeurs sauvages[18]. Elle possède un museau assez pointu, des pattes fines et des oreilles largement développées par rapport à sa taille. Dans son habitats cette souris coexiste avec des cervidés qui semblent être l'hôte préféré des tiques adultes Ixodes dammini. L'adulte mesure entre 15 et 20,5 cm pour un poids allant de 15 à 25 g. Sa queue mesure de 6,5 à 9,5 cm[7]. Benach, «, T.G. de la maladie de Lyme sur la souris à patte blanches nécessaire de procéder à des analyses d’ADN afin de 2 Atlas des micromammifères confirmer l’identification d’espèces voisines très sem-blables telles la souris sylvestre (Peromyscus maniculatus) et la souris à pattes blanches (Peromyscus leucopus). Ils ont pour cela comparé l'infectivité de borrélies inoculées par des tiques à des souris à pattes blanches (et à des souris de laboratoire) préalablement infestées à plusieurs reprises par des tiques non infectées). Son poids est de 12 à 30 grammes. On sait que de manière générale et théorique, une réaction immunitaire dirigée vers un parasite vecteur de pathogènes peut dans certains cas fortement diminuer le risque écoépidémiologique (par exemple un lapin souvent piqué par des tiques non-infectées y devient hypersensible (allergique), mais a ensuite moins de chance d'être victime d'une tularémie[22]. La souris commune (Mus musculus) , quant à, elle est une espèce introduite. La souris commune se reconnaît à son pelage brun ocre et gris foncé, plus clair sur la partie ventrale. Elle est facilement reconnaissable par sa queue dont la face inférieure est blanche. Souris à pattes blanches, hôte majeur des spirochètes causant la maladie de Lyme, « malgré ce risque entomologique plus élevé, l'incidence humaine de la maladie de Lyme est plus faible dans des contextes fragmentés, ce qui suggère que le risque entomologique n'est pas le moteur critique des infections humaines (...) Une compréhension complète de l'influence de la fragmentation du paysage permettra d'améliorer la cartographie des risques et la gestion environnementale potentielle de la maladie de Lyme », K.D. identifier les souris sylvestres (Peromyscus maniculatus) et les souris à pattes blanches (Peromyscus leucopus). Ostfeld, «. La souris sylvestre et la souris commune sont faciles à identifier. Cette souris est soupçonnée de jouer un rôle majeur d'espèce-réservoir de certains pathogènes pouvant toucher l'Homme et divers animaux domestiques. Cette bactérie leur est transmise par les tique Ixodes scapularis et Ixodes dammini, notamment dans les forêts écologiquement fragmentées par les routes[3],[11] (le réchauffement climatique[12] et le degré de fragmentation semble même expliquer les variations introforestières de risque du risque infectieux pour la maladie de Lyme [13]). Elle est facilement reconnaissable par sa queue dont la face inférieure est blanche. Cette espèce de rongeur est brune ou grise. Moody, G.A. Ces deux espèces de souris sont morphologiquement très semblables. PROCYONIDAE Raton laveur . Sous sa forme blanche (albinos), elle constitue l’animal de laboratoire le plus utilisé. La recherche a porté pendant dix ans sur deux espèces communes à l'est de l?Amérique du Nord, la souris sylvestre et la souris à pattes blanches. Moro, O.L. CANIDAE Loup gris Renard roux . Dans les climats nordiques et en présence de prédateurs naturels plus abondants, l'espérance de vie moyenne est de 12 à 24 mois[8]. A titre d'exemple, on a évalué que les coyotes du Parc national de Yellowstone consommaient annuellement 76,2% de la biomasse de rongeurs du genre microtus disponible (= 32,4% de leur alimentation globale)[15],[16]. Le taux de bactérie spirochètes a ensuite été mesuré dans la vessie, la rate, les reins, le sang et l'urine de ces souris[18]. (1988), Schwan TG, Kime KK, Schrumpf ME, Coe JE et al (1989), Schwanz LE, Voordouw MJ, Brisson D& Ostfeld RS (2011). (2012) avec la rareté du Coyote et du renardf se montrant selon eux de solides prédicteurs des cas de maladie de Lyme dans l'est de l'Amérique du Nord, plus que la densité de cervidés [14]. Hofmeister, et al., «, D. Richter, A. Spielman et F.R. & Timm, R. (2008). C'est dans les tissus de la vessie (mais jamais dans l'urine) que les spirochètes ont été le plus densément trouvés (94 %), suivi par le rein (75 %), la rate (61 %), et le sang (13 %). Souris sylvestre, souris à pattes blanches et souris grise commune, certaines espèces de souris sont particulièrement invasives et représentent une nuisance dès lors qu’elles colonisent et prolifèrent au sein de nos habitations et locaux publics. Comme une autre souris (Peromyscus maniculatus) qui lui ressemble, cette espèce joue aussi un rôle de «réservoir» d'hantavirus, virus qui cause des maladies graves à mortelles chez l'homme[24]. Brownstein, J. S., Skelly, D. K., Holford, T. R., & Fish, D. (2005). Terwilliger, G.M. Matuschka FR, «, La maladie de Lyme progresse avec les souris à pattes blanches, Effect of forest fragmentation on Lyme disease risk, Coyotes, red foxes, and the prevalence of Lyme disease, Hantavirus Pulmonary Syndrome — United States: Updated Recommendations for Risk Reduction, domaine du sujet de l'article dans lequel ils apparaissent, The urinary bladder, a consistent source of Borrelia burgdorferi in experimentally infected white-footed mice ( Peromyscus leucopus), Borrelia burgdorferi has minimal impact on the Lyme disease reservoir host Peromyscus leucopus, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Souris_à_pattes_blanches&oldid=178217992, Taxobox utilisant une classification non précisée, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Anderson JF, Johnson RC, Magnarelli LA (1987), Anita Rogic, Nathalie Tessier, Pierre Legendre, François-Joseph Lapointe, Virginie Millien (2013), Barthold, SW, Persing, DH, Armstrong, AL, Peeples, RA. La fragmentation des forêts par l'Homme favorise en Amérique du Nord cette espèce. La souris à pattes blanches; La souris-moissonneuse; La souris sylvestre; La souris de Sitka; La souris à sauterelles; Si vous soupçonnez la présence de souris dans votre maison, il s’agit probablement de la souris grise, aussi appelée souris commune. Les souris sylvestres ont le dos gris, le ventre et les pattes blanches et une queue bicolore. A. Allen, 1895 Levine, M.L. La souris sylvestre est brune ou grise et a le ventre et les pattes blanches. Or cette souris se nourrit notamment de glands et les glandaies favorisent provisoirement leur dynamique de population[19],[20]. Leurs yeux et leurs oreilles réputés "attrayants" sont plus grands que ceux des souris domestiques. Elle pourrait notamment être impliquée dans la diffusion de maladies graves, telles que ; Peut être à cause du réchauffement climatique, son aire de répartition semble se modifier et remonter vers le nord au détriment de la souris sylvestre (Peromyscus maniculatus),, ce qui pourrait amener de nouvelles maladies zoonotiques au Canada (L'espèce est déjà commune dans le sud du Québec, au sud du Saint-Laurent principalement et tend à remonter vers le nord ; des analyses génétiques permettront de suivre et comprendre son évolution au Canada[10]), Au milieu des années 1980, dans la zone côtière du Massachusetts une étude[2] montre que toutes les souris à pattes blanches piégées étaient porteuses de la maladie de Lyme. Souris à pattes blanches Souris sylvestre . Or, très abondantes, elles sont aussi l'hôte sur lesquels la nymphe et larve de la tique vectrice Ixodes dammini se nourrit le plus fréquemment (la plupart des tiques immatures I. dammini semblent s'attacher à des souris à pattes blanches). Effets (paradoxaux ?) L'infection par le spirochète B. burgdorferi aurait donc peu d'impact sur la santé de la souris à pattes blanches[6] (elle pourrait donc être porteur sain). Barthold, «, J.F. La souris à pattes blanches migre au rythme de 11 kilomètres par an. L'étude a conclu que cette espèce de souris tolère remarquablement bien les tiques, qui pourtant sont parfois nombreuses à les infester (jusqu'à 270 tiques). Les virus en cause sont le virus de Black Canal Creek (BCCV), le virus New York (NYV), le Sin nombre virus (SNV), et certains autres membres du genre hantavirus qui sont endémiques aux États-Unis et au Canada3. Comme tous les rongeurs, cette souris peut être parasitée (jusqu'à 270 tiques trouvées sur une seule souris). La biologiste Virginie Millien, directrice de la Réserve naturelle Gault de l’Université McGill située à environ 40 kilomètres à l’est de Montréal, dans la vallée du Saint-Laurent, étudie depuis 10 ans deux espèces semblables et coexistantes : la souris sylvestre et la souris à pattes blanches. Traité des mammifères du Canada 1. (2004), Brunner JL, LoGiudice K & Ostfeld RS (2008), Burgess EC, French JrJB & Gendron-Fitzpatrick A. Liste des espèces. La souris sylvestre est de couleur brune sur le dos, avec des pattes et un ventre blancs et une queue bicolore. À l'automne, la souris sylvestre envahit parfois les bâtiments qui sont situés près d'un champ ou d'un boisé. Peromyscus attwateri J. Les auteurs en concluent que la souris à pattes blanches est dans cette région un réservoir essentiel des spirochètes responsables de la maladie de Lyme. Les patterns de prévalence du spirochète relevés dans les forêts de Long Island suggèrent que les cerfs et les souris jouent (au moins dans cette région) conjointement un rôle de réservoirs[17]. Les biologistes utilisent plutôt les termes souris commune (mus musculus), qui est une espèce introduite, ou encore souris sylvestre (peromyscus maniculatus) et aussi souris à pattes blanches (peromyscus leucopus). Éducation et Développement de la petite enfance, Éducation postsecondaire, Formation et Travail, Ressources naturelles et Développement de l’énergie, Bureau du défenseur du consommateur en matière d'assurances, Le Bureau du commissaire à l’intégrité, Environnement et planification des terres, Prévention des dommages et méthodes de contrôle, Une construction à l'épreuve des rongeurs empêche les souris d'envahir les édifices et autres structures, Pour ne pas que les souris s'attaquent aux semences de jardin, mettez de la toile métallique (mailles de 1/4 po [0,6 cm]) ou un revêtement protecteur semblable, La nourriture laissée dans des cabanes ou d'autres bâtiments rarement utilisés doit être conservée dans des contenants à l'épreuve des rongeurs, Dans les bâtiments rarement utilisés, il faut ranger les coussins, tiroirs, etc., de manière à réduire les endroits propices pour des nids, Trappes automatiques permettant plusieurs captures, Nourriture de remplacement : des expériences laissent croire que la distribution de graines de tournesol diminuerait sensiblement la consommation de semences de conifères dans les nouvelles plantations forestières, bien que l'on n'ait pas poursuivi les essais jusqu'à la régénération de la forêt. (1990), Goodwin BJ, Ostfeld RS & Schauber EM (2001), Hofmeister EK, Ellis BA, Glass GE & Childs JE (1999), Horka H, Cerna-kyckovaa K, Kallova A & Kopecky J (2009), Martin LB, Weil ZM, Kuhlman JR & Nelson RJ (2006), Ostfeld RS, Schauber EM, Canham CD, Keesing F & al. Canham, K. Oggenfuss, R.J. Winchcombe RJ et F. Keesing, «, M.H. On les retrouve surtout dans les sous-bois, les champs, etc.» E.M. Bosler, B.G. Jones, R.S. La souris à pattes blanches (Peromyscus leucopus) est un petit rongeur granivore d'Amérique du Nord. Retrieved 05 February 2010. Contrairement à sa cousine, qui est uniformément grise, la souris sylvestre a une fourrure bicolore qui tire sur le brun-rouge au gris pâle avec un tâche blanche … Ces cervidés peuvent être infectés par des tiques préalablement infectées (à l'état de larves) par des souris. La dernière modification de cette page a été faite le 30 décembre 2020 à 18:13. Il se pourrait même que la tique ait développé une relation symbiotique avec la souris à patte blanche car les mâles fortement parasités survivent mieux que ceux qui ne le sont pas. On a montré (en laboratoire, par des inoculations expérimentales[1] et dans la nature) dans les années 1980-1990 qu'elle est un réservoir pour la bactérie responsable de la maladie de Lyme en forte extension aux États-Unis[2],[3],[4],[5]. Pour ce qui est de la souris sylvestre, elle est vraisemblablement similaire à sa cousine, la souris domestique, en ce qui attrait à la taille. Vivant en milieu urbain, la souris commune est reconnaissable à ses grandes oreilles et à son pelage brun clair ou gris foncé avec un ventre plus pâle. Les souris femelles donnent naissance à une portée de six à huit souriceaux et peuvent avoir jusqu’à huit … C’est l’une des trois espèces (outre le rat surmulot et le rat noir) qui vit en étroite relation avec l’homme. (1991), Bunikis J, Tsao J, Luke CJ, Luna MG & al. L’extrémité de … Peromyscus est un genre de rongeurs de la famille des Muridés. La durée de vie maximale serait de 96 mois environ, mais l'espérance de vie moyenne des individus de cette espèce est de 45,5 mois pour les femelles et 47,5 pour les mâles. On remarque une nette séparation entre le ventre blanc et le dos plus foncé. test de la course dans une roue). La Souris sylvestre (Peromyscus maniculatus) est une SOURIS typique à queue moyennement longue, à grandes oreilles, aux yeux proéminents et au nez pointu couvert de vibrisses.Ses parties supérieures sont grises ou brunes, selon l'âge et la sous-espèce, et ses parties inférieures sont blanches. 1983. Des chercheurs se sont demandé si la souris pouvait s'immuniser contre les piqures de tiques Ixodes ou contre leurs effets. En Amérique du Nord, ce morcellement favorise la souris à pattes blanches, car plus le paysage est fragmenté par des routes, moins les prédateurs (par exemple les loups, lynx, coyotes, renards et rapaces) de cette souris sont présents comment l'on d'abord noté Levi et al. Des souris à pattes blanches ont été expérimentalement infectés en laboratoire par Borrelia burgdorferi , par inoculation intrapéritonéale ou sous-cutanée ou par morsure de tique. « Peromyscus leucopus ». Ostfeld, M.P. La souris sylvestre. Les souris (Le terme souris est un nom vernaculaire ambigu qui peut désigner, pour les francophones, avant...) de ce genre sont appelées Souris de chasse ou Souris à pattes blanches.. Certaines espèces sont susceptibles de transporter des hantavirus. En … Allan, B. F., Keesing, F., & Ostfeld, R. S. (2003). On reconnaît la souris commune par son pelage teinté de brun ocre et de gris foncé ou chamois sur la partie ventrale. IUCN Red List of Threatened Species. « La souris à pattes blanches est en mode migration-colonisation. La souris sylvestre s’est elle aussi métamorphosée physiquement de façon similaire à sa congénère à pattes blanches en à peine un demi-siècle, a découvert Mme Millien. À l’automne, elle accumule des réserves de nourriture en prévision de l’hiver. Elle est facilement reconnaissable par sa queue dont la face inférieure est blanche. MUSTELIDAE Loutre de rivière Rapport présenté à la Société de la faune et des parcs du Québec par l'Université de Montréal, 6 p. VAN ZYLL de JONG, C.G. Elle est soupçonnée de jouer un rôle majeur dans l'extension de l'épidémie de Maladie de Lyme en tant que porteur sain[6] et pourrait être impliquée dans la diffusion d'autres maladies graves. Ostfeld, C.D. Il pourrait aussi y avoir un biais d'interprétation : il y aurait simplement moins de prédateurs (et donc moins de risque de prédation) dans les zones plus infestées, ou ce surparasitage indiquerait que les souris vivent dans des zones plus favorables à la fois aux souris et aux tiques (ex : microhabitats plus enherbés où les souris peuvent mieux se cacher de leurs prédateurs). Elles ne semblent en outre pas affaiblies (Cf. Parmi les hypothèses explicatives avancées figure l'idée que les souris infestées de tiques pourraient adopter un comportement qui les protégerait mieux de la prédation (elles prendraient moins de risques). La reforestation (forêts dites « de transition »), quand elle se fait dans les conditions évoquées ci-dessus (artificielle, avec fragmentation des forêts et absence de grands prédateurs ou pullulation de micromammifères ou de gibier) semble parfois pouvoir favoriser certaines zoonoses, dont la maladie de Lyme[25]. La souris à pattes blanches peut être facilement confondue avec la souris sylvestre. Contrairement au jeune rat, la souris a un museau plutôt pointu, des pattes plus petites et des oreilles bien développées. URSIDAE Ours noir . Ormiston, J.L. Version 2009.2. International Union for Conservation of Nature. Schwan, W. Burgdorfer, M.E. La souris commune adulte pèse de 10 à 20 grammes, les plus grosses pesant parfois 50 g, et mesure jusqu’à 10 cm avec autant de longueur de queue, recouverte d’écailles cornées, disposées en anneaux parsemés çà et là de petits poils. Elle présente également cinq paires de mamelles, trois p… Linzey, A.V., Matson, J. sc.) La souris sylvestre est brune ou grise et a le ventre et les pattes blanches. Tous droits réservés. Le morcellement des paysages module la densité en tiques, en hôtes mammifères et la composition des cortèges d'espèces. Barker, G.A. Souris à pattes blanches et souris sylvestres - Prévention des dommages et méthodes de contrôle - Ressources naturelles - Nouveau-Brunswick Tout le contenu © Le gouvernement du Nouveau-Brunswick. Cette souris est soupçonnée de jouer un rôle majeur d'espèce-réservoir de certains pathogènes pouvant toucher l'Homme et divers animaux domestiques. Les résultats ont montré que les nymphes de tiques se gorgent facilement de sang sur des souris préalablement exposées à des tiques non infectées, mais avec un succès d'alimentation qui a progressivement diminué. Hansen et S.W. Des variations spatiotemporelles de risques ont aussi été reliées aux glandaies. D'autres études montreront qu'en Amérique du Nord, cette souris semble être ou est récemment devenue l'un des principaux « réservoirs », de Borrelia burgdorferi parasite spirochète responsable de la maladie de Lyme. DIPODIDAE Souris sauteuse des bois Souris sauteuse des champs . À l’automne, la souris sylvestre envahit parfois les bâtiments qui sont situés près d’un champ ou d’un boisé. La taille de l'animal a aussi été évoquée : les souris plus grosses tout en étant plus parasitées auraient néanmoins plus de chances de survie. La souris sylvestre (Deer Mice) et la souris grise à pattes blanches sont toutes deux des souris sauvages indigènes en Amérique du Nord. Nom scientifique : Apodemus sylvaticus: Poids : 15 à 30 g: Longueur : 9,5 à 11 cm: Famille : Muridae: Ordre : Rongeurs: Longévité : 18 à 20 mois : Caractéristique communes aux rongeurs. Les scientifiques constatent que plus la forêt est fragmentée par des routes, moins les prédateurs des micromammifères sont présents, plus les hommes (chasseurs notamment) pénètrent facilement la forêt et plus ces souris sont nombreuses ; et plus elles sont nombreuses à être infectées par des borrélies ; et plus les tiques portées par les souris sont également nombreuses et plus fréquemment infectées[3], ce qui favorise la diffusion de l'épidémie. Son pelage est gris à la racine, tandis que la pointe des poils de son ventre, de ses flancs, de la face inférieure de sa queue ainsi que ses pattes sont de couleur blanche. De son côté, la souris commune se reconnait facilement à ses grandes oreilles. Surgeoner, S.A. McEwan et G. Douglas Campbell, «, L.E. Richard, E.M. Schauber et J.O. ERETHIZONTIDAE Porc-épic d'Amérique . Schwanz, M.J. Voordouw, D. Brisson et R.S. (2001), Schwan, TG, Burgdorfer, W, Schrumpf, ME, Karstens, RH. ... La souris sylvestre construit son nid à partir de divers matériaux qu'elle trouve. Forest fragmentation predicts local scale heterogeneity of Lyme disease risk. Les souris parasitées survivent paradoxalement aussi longtemps que les autres, peut-être parce que c'est au stade larvaire que les tiques recherchent ces souris, en ne prélevant alors que très peu de sang. Ces deux dernières espèces sont indigènes au Québec. Oecologia, 146(3), 469-475. La souris sylvestre a le ventre et les pattes blanches alors que le reste son corps est brunâtre ou grisâtre. La recherche a porté pendant dix ans sur deux espèces communes à l'est de l'Amérique du Nord, la souris sylvestre et la souris à pattes blanches. Lindsay, I.K. Mais La souris sylvestre est brune ou grise et a le ventre et les pattes blanches. La souris sylvestre est brune ou grise et a le ventre et les pattes blanches. Puis, à l’aide de séquences d’ADN mitochondrial, je comparerai la phylogéographie des deux principales espèces de souris au Québec, la souris à pattes blanches et la souris sylvestre (P. maniculatus). Ce petit rongeur est présent dans les forêts et boisés, parfois très abondant de l'Ontario, au Québec, au Labrador et dans les provinces maritimes (à l'exception de Terre-Neuve) au nord, ainsi que dans le sud-ouest des États-Unis et jusqu'au Mexique[9]. Phylogéographie comparée de la souris à pattes blanches et de la souris sylvestre, deux vecteurs de la maladie de Lyme au Québec Par Jessica Fiset Département de sciences biologiques Faculté des arts et des sciences Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l’obtention du grade de Maître ès sciences (M. Les autres petits rongeurs avec lesquels on pourrait la confondre sont des espèces indigèn… Habitat La souris à pattes blanches vit où le couvert végétal est dense et elle peut s’installer dans tous les types de bâtiments. - Sylvestre - Des cascades - Souris de sitka - Souris moissonneuse - Souris à pattes blanches: VS. On la confond souvent avec la souris sylvestre, Peromyscus maniculatus qui lui ressemble à plusieurs égards.